Livre troisième, chapitre deuxième : archéologie, par Melian Faeranduil

Rédigé par kaamlii -

Hirilthar vient de subir un fâcheux événement : il a été victime d'une grave intoxication alimentaire et est contraint de garder le lit.

Wayness et moi nous retrouvons seuls, mais Dagith, Nyssa, Danouk et Aredhel reviennent de mission.

Nous prenons donc la direction de Boislac et descendons à l'auberge "le sans rival". Cette auberge fourni un service d'excellente qualité. Je me permets de jouer un peu et Wayness apprécie mon art. Ses joues empourprées laissent entendre qu'elle est quelque peu grisée.

La famille Flammanges n'a plus qu'une seule descendante, dame Otilie de Flammanges, au manoir de Mirky Porod.

Une servante nous ouvre, je l'abreuve de paroles et elle me dit "on va dire que vous m'avez dit que vous aviez rendez-vous".

Ottilie est une dame acariâtre, entourée de chiots. Elle parle de son mari comme étant "feu mon mari, dans sa générosité imbécile".

Elle nous propose un marché : si nous chassons la famille de Moleenbech hors de chez eux, elle accepte que l'on accède aux fichiers. Nous devons ramener le titre de propriété de leur domaine.

Soudain, Nyssa m'assène un coup de massue comme je n'avais pas reçu depuis fort longtemps : "Dagoth n'a qu'à se dévouer pour séduire la servante, c'est le plus canon du groupe après tout."

Je décide d'aller marcher un peu pour aller me détendre. Alors que je longe une forêt pour rentrer en ville, je me fais tirer dessus et un carreau d'arbalète m'atteint !

Deux nains chargent, hache et bouclier en main. Je détale et dois mon salut à Agnès, sur son cheval, lance en main, qui embroche un des deux nains.

Le deuxième se prend un premier coup d'Agnès, j'arrive au contact, mais le nain ne veut pas se rendre et attaque.

Après quelques passes où je fais montre d'une incompétence martiale notoire, j'assène un coup particulièrement bien placé (et donc d'autant plus surprenant) au nain qui met genou à terre, lâche ses armes et détale.

Je ramène Agnès au groupe et lui explique les raisons de notre venue.

Agnès nous propose d'hypnotiser la femme et cette tactique fonctionne plutôt bien, puisqu'elle nous dit où se trouvent les papiers de son mari en rapport avec la société naturaliste. Le bureau est fermé, mais dame Flammanges dispose de trois trousseaux de clés toutes soigneusement étiquetées.

Nous fouillons et trouvons quelques papiers, notamment un document qui mentionne que des dons de la société naturaliste lui ont été faits par un certain Xantief de Havresel. Nous reposons tout en place et prenons donc la route de Havresel.

Sur place, Dagoth demande une auberge "où on peut le plus faire la fête" et on nous dirige veres la promenade.

Xantief est un commerçant, dont l'échoppe se trouve sur l'allée du vieux phare. Sa boutique s'appelle "l'arcaniste" et il jouit d'une solide réputation en ville, notamment celle de n'ouvrir qu'après minuit. On nous fait une description de l'homme : grand et mince, à la barbe blanche assez longue et au phrasé chatié et sagace.

Il a récupéré les documents d'un certain Adrian Moncurio et veut bien nous communiquer les informations contre une modeste contribution, le lendemain soir.

Le lendemain, nous apprenons que Xantief a été assassiné la veille, après notre visite. Il aurait été torturé...

Nous allons voir la guilde des marchands, pour glaner des renseignements sur Moncurio.

Avec Wayness, nous retournons voir Alvina (la boutique attennante à celle de Xantief) pour obtenir un moyen d'entrer dans la boutique de Xantief, mais elle est réticente. Alvina a déjà eu à faire avec Mancurio et dispose d'une adresse où lui envoyer de l'argent.

Elle aimerait que l'on lui envoie un mot si nous parvenons à mettre la main sur la charte.

La prochaine étape de notre enquête nous emmènera donc à Terre-Bouc voir Irena Portils, qui habite rue des lucanes.